La multiplication des technologies facilitant la communication en entreprise rend difficile la garantie de la confidentialité d'un projet. Pour cela, il ne faut plus utiliser ces outils vulgarisant la communication, car ils deviennent de véritables ennemis. Il faut restreindre au maximum la circulation de l'information.
Première étape: il faut impliquer le moins de monde possible dans le projet, l'idéal est de communiquer avec une équipe composée au maximum de 4 personnes. Une expérience réalisée lors de la fusion de CanalSat et de TPS, prouve qu'au delà de ce quatuor, les chances de préserver un secret s'amenuisent rapidement. Bien sûr, le choix des collaborateurs est essentiel, et la signature d'une close de confidentialité l'est également.
L'autre étape consiste à jouer aux James Bond en utilisant des noms de code et des pseudos. Par exemple, le nom de code pour la nouvelle Twingo de Renault a été "Projet C44", ou "Opération jungle" pour les dosettes de café aromatisée de Kraft Jacobs Suchard. L'objectif de cette pratique utilisée par les services spéciaux, consiste à banaliser l'information et faire en sorte que la nature exacte du projet demeure obscure en cas d'interception par un tiers. De plus, il ne faut pas oublier de donner un surnom aux personnes qui travaillent sur ce projet top secret, afin que leurs noms ne soit pas divulgués en public et qu'ils ne subissent auncune pressions externes ou internes à l'entreprise.
Le jeu d'agents secrets ne s'arrêtent pas là, il faut que les lieux de réunion soit sûres et discrets. Devenez un vrai agent 007 en regardant si des micros ne sont pas cachés, installez un brouilleur de fréquence, utilisez des broyeurs de documents. Méfiez vous également des téléphones portables, en effet ils peuvent être sur écoute, ils doivent donc servir uniquement à fixer les rendez-vous. Que de petites précautions, qui peuvent s'avérer vitales pour garder un secret.
Première étape: il faut impliquer le moins de monde possible dans le projet, l'idéal est de communiquer avec une équipe composée au maximum de 4 personnes. Une expérience réalisée lors de la fusion de CanalSat et de TPS, prouve qu'au delà de ce quatuor, les chances de préserver un secret s'amenuisent rapidement. Bien sûr, le choix des collaborateurs est essentiel, et la signature d'une close de confidentialité l'est également.
L'autre étape consiste à jouer aux James Bond en utilisant des noms de code et des pseudos. Par exemple, le nom de code pour la nouvelle Twingo de Renault a été "Projet C44", ou "Opération jungle" pour les dosettes de café aromatisée de Kraft Jacobs Suchard. L'objectif de cette pratique utilisée par les services spéciaux, consiste à banaliser l'information et faire en sorte que la nature exacte du projet demeure obscure en cas d'interception par un tiers. De plus, il ne faut pas oublier de donner un surnom aux personnes qui travaillent sur ce projet top secret, afin que leurs noms ne soit pas divulgués en public et qu'ils ne subissent auncune pressions externes ou internes à l'entreprise.
Le jeu d'agents secrets ne s'arrêtent pas là, il faut que les lieux de réunion soit sûres et discrets. Devenez un vrai agent 007 en regardant si des micros ne sont pas cachés, installez un brouilleur de fréquence, utilisez des broyeurs de documents. Méfiez vous également des téléphones portables, en effet ils peuvent être sur écoute, ils doivent donc servir uniquement à fixer les rendez-vous. Que de petites précautions, qui peuvent s'avérer vitales pour garder un secret.
En définitive, il faut devenir un vrai paranoïaque pour garder un projet secret, cependant l'espionnage existe et se fait de plus en plus fréquent. Il a amélioré ses techniques afin d'être le plus invisible possible, et donc le plus efficace possible.
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